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LE CIEL NE LEUR EST PAS TOMBÉ SUR LA TÊTE !
Date : 31/05/2017

Lundi 29 mai 2017, le ciel était menaçant mais nos Gaulois grimpeurs n’ont peur de rien et surtout pas que celui-ci leur tombe sur la tête !

Bilan très positif pour cette sortie escalade nature. Les collégiens ont pu constater que la falaise de Chabenet présente des difficultés bien qu’elle ne soit pas très haute. Les prises sont complexes à trouver sur le calcaire, lequel, rappelons-le, ne casse pas comme ça ! Les genoux et les mains ont un peu souffert.

Merci à Fabien Monnier d’avoir proposé cette sortie, la der pour lui cette année au niveau de l’encadrement du créneau du lundi. Nous lui souhaitons bon courage pour le mois de juin et de belles vacances d’été.

La surprise a été de retrouver Damien François et son groupe de fidèles du lundi soir, Chrystelle, Jade, Maêlle et Pierre-Valentin. Merci à lui pour ces belles démonstrations de grimpe à la mode espadrilles, préhistorique et couleur locale !

Alexia Soulas a largement contribué à l’encadrement de nos collégiens et nous a produits, elle aussi, de belles démonstrations de sa technique. C’est un plaisir de la savoir à nos côtés.

Enfin, merci à Claudine, Jean-Pierre et Sophie pour les rafraîchissements ; la température en fond de vallée était particulièrement pesante et tout ce petit monde était assoiffé.

Voici les premiers clichés de cette sortie, d’autres suivront. Pensez à envoyer vos photos pour compléter l’album !

Pour information, les peintures  » préhistoriques  » à l’ocre rouge, jaune et au noir de manganèse ont été réalisées par la classe de CE1-CE2 de Soline Parotinécole de Tronget (Allier), le 17 mars 2016, dans le cadre d’une sortie préhistoire de huit jours. Sophie Tymula, préhistorienne et Michel Parotin, préhistorien, leur ont fait découvrir les techniques de cet art ancestral dans les conditions idéales d’une falaise. Le Lascaux pontacabanois est ainsi né ! Ces peintures sont des terres, donc entièrement naturelles. Certes, elles colorent un peu les mains et les chaussons…

Aujourd’hui, la surveillance scientifique se poursuit afin de mesurer la vitesse de dégradation des peintures. Celle-ci est lente, très lente. Lascaux a 20 000 ans, ici, nous sommes dans un autre contexte, un milieu plus agressif que celui d’une grotte fermée. Vous pariez sur combien d’années ?

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