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DA SILVA Paméla

Nom et Prénom :
DA SILVA Paméla

Date de naissance :
05 mars 2009

Age au moment de l’interview :
11 ans

Classe ou études poursuivies :
Sixième

Autres activités pratiquées sportives ou culturelles :
Natation

Trait de personnalité :
Amoureuse de la nature

Je grimpe depuis l’âge de 8 ans. J’ai découvert l’escalade en 2016 lors d’une journée d’animation sur la « tour de glace » installée à Argenton-sur-Creuse pour les vacances de Noël. J’ai fait un essai et c’était super. J’ai réussi beaucoup de voies. Sylvain animait l’activité et il m’a dit que je grimpais bien. Papa et maman ont demandé des renseignements sur le club puis ils m’ont inscrite en septembre 2017. Avant, je faisais de la gymnastique à Argenton-sur-Creuse le mercredi après-midi. Entre deux roulades, je voyais la transformation du mur à mesure des travaux et ça me donnait déjà très envie de grimper. J’adore grimper en tête et j’aime beaucoup le bloc aussi. Surtout quand il faut toper dans des positions bizarres (la tête en bas par exemple). J’ai rejoint rapidement le groupe compétition car j’aime m’améliorer et j’ai aussi l’esprit de compétition. J’aime aussi retrouver Phiphi et Nico, mes deux entraîneurs que je trouve géniaux. Mes points forts en grimpe sont la concentration et la persévérance. Je dois encore apprendre à gérer mes efforts et notamment à me poser un peu pour récupérer ! Comme nous n’avons pas la chance de faire beaucoup de compétitions, mon palmarès n’est pas encore très important, même si j’ai quand même gagné quelques médailles d’or, d’argent, de bronze et de chocolat. Je garde comme super souvenir ma victoire à Touraine Escalade il y a peu. C’est une de mes salles préférées. Ce jour-là, j’ai été la seule fille à sortir la voie de finale malgré un dévers de maboul. J’aimerais devenir une championne de la discipline et participer bientôt aux championnats de France. Mes chaussons favoris sont les Katanas de La Sportiva. Je suis pressée de reprendre la saison et d’aller grimper dès le printemps sur la falaise de La Dube, à Mérigny. J’ai une devise : impossible n’est pas français !

Ses entraineurs disent d’elle

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